Vivre maritalement ou en union de fait est un choix qui découle des prérogatives instituées par la société québécoise. Par conséquent, les impératifs juridiques souscrits par le code civil du Québec régissent les types d'union. Triste de constater qu' une péripétie abracadabrantesque impliquant une ex conjointe de fait d'un richissime homme d'affaire québécois tente de porter ombrage aux assises juridiques établies.
RÉUSSIR SON DIVORCE OU SA SEPARATION
Comment réussir son divorce après échec de son union maritale ou sa rupture après les infructuosités d'une union libre?Spolier son ex être cher s'avère une alternative . Eh oui!! L'éplucher financièrement. Pathétique n'est ce pas? Les âmes vénéres par l'honnêteté seront étonnés d'apprendre qu'au palais de justice de Montréal siège un procès mettant en vedette une ex conjointe de fait d'un milliardaire montréalais qui refuse de couper les ponts pécuniaires qui le liaient à son Crésus. Elle réclame une pensions alimentaire de l'ordre de 50 millions de dollars canadiens. Le Code civil du Québec,limpide à ce sujet, stipule que les conjoints de fait, après rupture d'union, ne peuvent titiller le portefeuille de leurs ex n'étant pas mariés et n'ayant pas de contrat de mariage. Mais quelle est la raison de cet acharnement juridique initié par l'ex conjointe?La réponse vous brûle les lèvres!!!! Eh oui!!Madame peaufine un détournement de fond, qui après avoir été légitimé par l'appareil judiciaire va dissiper ses principes arrivistes. Ainsi,va la vie!
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